Journal of the Canadian Chiropractic Association

April 2024 Volume 68 No. 1, 2024

Editorial – JCCA April 2024 Chiropractic Sciences Special Issue: 5th Edition

Abstract


Éditorial – JCCA Avril 2024 – Numéro spécial des sciences chiropratiques : 5e édition

  • Brynne E. Stainsby, BA, DC, FCCS(C)

Spinal ependymoma presenting as subtle neurological findings in a VA chiropractic clinic: a case report in differential diagnosis and appropriate use of diagnostic imaging

Abstract

Background

Lhermitte’s sign is a nonspecific historical and exam finding that carries with it a differential diagnosis of cervical myelopathy, multiple sclerosis, intradural tumors, or other central nervous system pathology. Regardless of the suspected diagnosis, further diagnostic investigation is indicated to determine etiology of symptoms.

Case Presentation

In this case, a 67-year-old male Veteran presents to a Veterans Affairs (VA) outpatient chiropractic clinic with an insidious 6-month onset of neck pain with historical description of a positive Lhermitte’s sign, a single episode of bladder incontinence, and mild changes in upper extremity manual dexterity. These subtle historical findings prompted referral for a brain and cervical spine MRI, revealing an ependymoma in the cervical spine. Urgent neurosurgical referral was made, and the patient underwent C3-C7 laminectomy, C3-T2 fusion, and tumor resection.

Summary

This case represents an example of clinical reasoning in a VA chiropractic clinic when presented with subtle neurologic findings, and discusses the differential diagnoses and decision-making process to pursue imaging that resulted in appropriate neurosurgical management.


Épendymome lombaire se manifestant par des signes neurologiques subtils dans une clinique chiropratique des anciens combattants: un rapport de cas sur le diagnostic différentiel et l’utilisation appropriée de l’imagerie diagnostique.

Contexte:

Le signe de Lhermitte est un résultat non spécifique de l’histoire et de l’examen qui entraîne un diagnostic différentiel de myélopathie cervicale, de sclérose en plaques, de tumeurs intradurales ou d’une autre pathologie du système nerveux central. Quel que soit le diagnostic présumé, des examens complémentaires sont indiqués pour déterminer l’étiologie des symptômes.

Exposé de cas:

Dans ce cas, un vétéran de 67 ans se présente à une clinique chiropratique ambulatoire des anciens combattants (VA) avec une douleur cervicale insidieuse apparue six mois auparavant et une description historique d’un signe de Lhermitte positif, d’un épisode unique d’incontinence vésicale et de légers changements dans la dextérité manuelle des membres supérieurs. Ces antécédents subtils ont incité le patient à demander une IRM du cerveau et du rachis cervical, qui a révélé un épendymome dans le rachis cervical. Un transfert neurochirurgical urgent a été effectué et le patient a subi une laminectomie C3-C7, une fusion C3-T2 et une résection de la tumeur.

Résumé

Ce cas représente un exemple de prise de décision clinique dans une clinique chiropratique des anciens combattants lorsqu’on présente des résultats neurologiques subtils, et discute des diagnostics différentiels et du processus de prise de décision pour poursuivre l’imagerie qui a abouti à une prise en charge neurochirurgicale appropriée.

  • Olivia Poppen, DC
  • Alyssa Troutner, DC, MS
  • Christopher Farrell, DC, MS
  • Lindsay Rae, DC

Fluoroquinolone-induced Achilles tendinitis: a case report

Abstract

Although most cases of Achilles tendinitis are caused by some form of biomechanical stress, other factors may play a role in its etiology. Fluoroquinolone use is a well known contributing factor to Achilles tendon pathology. This report describes a case of fluoroquinolone-induced Achilles tendinitis in a 77-year-old woman. Eight weeks after she presented to our office, the patient reported significant improvements after a course of care that included low level laser therapy (LLLT), activity modification and graduated exercises. Management can include many of the treatment tools used for biomechanically induced tendinopathy, with particular consideration given to delaying more advanced weightbearing rehabilitative exercise due to the increased risk of rupture.


Tendinite du tendon d’Achille induite par les fluoroquinolones: un rapport de cas

Bien que la plupart des cas de tendinite d’Achille soient causés par une forme quelconque de stress biomécanique, d’autres facteurs peuvent jouer un rôle dans son étiologie. L’utilisation de fluoroquinolones est un facteur bien connu qui contribue à la pathologie du tendon d’Achille. Ce rapport décrit un cas de tendinite d’Achille induite par les fluoroquinolones chez une femme de 77 ans. Huit semaines après s’être présentée à notre clinique, la patiente a fait état d’améliorations notables après un traitement comprenant un traitement au laser de faible puissance, une modification de l’activité et des exercices progressifs. La prise en charge peut inclure de nombreux outils de traitement utilisés pour les tendinopathies d’origine biomécanique, avec une attention particulière pour retarder les exercices de réadaptation avec mise en charge plus avancés en raison du risque accru de rupture.

  • Antonio Anziano, BSc, DC

Axillary-Subclavian Venous Thrombosis following a weightlifting injury in an elderly patient: a case report

Abstract

Background

Axillary-subclavian venous thrombosis (ASVT) is a type of upper extremity deep vein thrombosis (UEDVT). UEDVTs are classified as either primary or secondary depending on their etiology. Although uncommon, clinicians should be aware of the clinical presentation of UEDVT as timely diagnosis and early treatment is critical in preventing possible postthrombotic complications.

Case Presentation

We report a rare case of axillarysubclavian and internal jugular vein thrombosis in the absence of clear risk factors in a 78-year-old male weightlifter who presented to the office with two-week duration of left upper extremity pain and swelling following strenuous exercise at the gym.

Summary

The combination of unusual thrombi location, in addition to the unusual absence of existing thoracic-outlet compression or indwelling medical hardware, makes our case of UEDVT especially uncommon. Clinicians should be aware of this rare disease due to the debilitating effects both in the short and long term.


Thrombose veineuse axillaire-sous-clavière à la suite d’un exercice intense chez un patient âgé : un rapport de cas

Context

La thrombose veineuse axillaire-sous-clavière (TVAS) est un type de thrombose veineuse profonde du membre supérieur (TVPMS). Les thromboses veineuses profondes du membre supérieur sont classées comme primaires ou secondaires selon leur étiologie. Bien qu’elles soient peu fréquentes, les cliniciens doivent connaître la présentation clinique de la thrombose veineuse profonde du membre supérieur, car un diagnostic et un traitement précoces sont essentiels pour prévenir d’éventuelles complications postthrombotiques.

Exposé de cas

Nous présentons un cas rare de thrombose de la veine axillaire-sous-clavière et de la veine jugulaire interne en l’absence de facteurs de risque clairs chez un haltérophile de 78 ans qui s’est présenté à la clinique avec une douleur et un gonflement du membre supérieur gauche survenus deux semaines après un exercice physique intense à la salle de sport.

Résumé

La combinaison de la position inhabituelle des thrombus, en plus de l’absence inhabituelle de compression de l’orifice inférieur du thorax ou de matériel médical à demeure, rend notre cas de thrombose veineuse profonde du membre supérieur particulièrement rare. Les cliniciens doivent connaître cette maladie rare en raison de ses effets débilitants à court et à long terme.

  • Chris White, DC, MSc
  • Felix Lascelles-Palys, DC
  • Glenn Cashman, DC, MSc, FRCCSS(C)

Chiropractic management of lumbar spinal epidural lipomatosis in a U.S. Veterans Affairs clinic: a report of two cases

Abstract

Background

Spinal epidural lipomatosis (SEL) is a rare contributor of low back pain (LBP) that can present with or without radicular symptoms.

Case Presentation

A 51-year-old and 65-yearold male presented with chronic LBP to the Veterans Affairs chiropractic clinic for a trial of care. One had a moderate degree of lumbar spinal stenosis with known SEL and the other had severe. The patient with moderate grade stenosis responded favorably with weeks of transient benefit after visits and the patient with severe grade did not find benefit with care.

Summary

SEL is a condition that conservative care providers should be aware of as a potential cause of central canal stenosis or neuroforaminal narrowing. Chiropractic management of SEL has been scarcely reflected in the published literature, but may be a viable option for transient symptom management.


Prise en charge chiropratique de la lipomatose épidurale lombaire dans une clinique du ministère des Anciens combattants des États-Unis: rapport de deux cas

Contexte:

La lipomatose épidurale rachidienne (SEL) est un facteur rare de lombalgie qui peut se présenter avec ou sans symptômes radiculaires.

Exposé de cas:

Un homme de 51 ans et un autre de 65 ans se sont présentés avec une lombalgie chronique à la clinique chiropratique du ministère des Anciens combattants pour un essai de soins. L’un d’eux souffrait d’une sténose lombaire modérée avec SEL connu et l’autre d’une sténose grave. Le patient souffrant d’une sténose modérée a répondu favorablement avec des semaines de bienfaits transitoires après les visites, tandis que le patient souffrant d’une sténose grave n’a pas bénéficié des soins.

Résumé

La SEL est une affection que les fournisseurs de soins prudents doivent connaître en tant que cause potentielle de sténose du canal central ou de rétrécissement neuroforaminal. La prise en charge chiropratique de la SEL a été peu abordée dans les ouvrages publiés, mais peut constituer une option viable pour la gestion des symptômes transitoires.

  • Alex V. Pham, DC, MS, LAT, ATC
  • Morgan R. Price DC

Intra-observer reliability study of lumbar segmental measurements utilizing ultrasonography

Abstract

Background

Spinal Manipulative Therapy (SMT) benefits LBP patients, but its mechanism is not well documented. One hypothesis indicates that SMT restores interspinal movements. Ultrasound measurement (UM) of spinous process separation (SPS) assesses the intersegmental movements.

Methods

We used the test-retest reliability of UM between the L3, L4, L5, and S1 spinous processes on fifteen asymptomatic volunteers while lying prone on a chiropractic table. The participants then walked around for over 5 minutes, and ultrasound images were reperformed prone. UM identified the tips of the spinous processes and distances between L3-L4, L4-L5, and L5-S1. Reliability was assessed using intra-class correlation coefficient (ICC).

Results

ICC values of SPS measurements were 0.982 for L3-L4, 0.992 for L4-L5, and 0.997 for L5-S1. Rootmean square difference between the two measures were 0.35mm for L5-S1, 0.36mm for L4-L5, and 0.57mm for L3-L4.

Conclusions

This study found UM to be reliable in measuring interspinous distance.


Étude de la fiabilité intra-observateur des mesures segmentaires lombaires par échographie

Contexte

La thérapie par manipulation vertébrale (TMV) est bénéfique pour les patients souffrant de lombalgie, mais son mécanisme n’est pas bien établi.L’une des hypothèses est que la TMV rétablit les mouvements intervertébraux. La mesure par échographie (UM) de la séparation de l’apophyse épineuse évalue les mouvements intersegmentaires.

Méthodologie

Nous avons utilisé la fiabilité de testretest de l’UM entre les apophyses épineuses L3, L4, L5 et S1 sur quinze bénévoles asymptomatiques en position couchée sur une table de chiropratique. Les participants ont ensuite marché pendant plus de 5 minutes et les images échographiques ont été refaites en position couchée. L’UM a permis de repérer les extrémités des apophyses épineuses et de déterminer les distances entre L3-L4, L4-L5 et L5-S1. La fiabilité a été évaluée à l’aide du coefficient de corrélation intraclasse (CCI).

Résultats

Les valeurs CCI des mesures de la séparation de l’apophyse épineuse étaient de 0,982 pour L3-L4, 0,992 pour L4-L5 et 0,997 pour L5-S1. La différence quadratique moyenne entre les deux mesures était de 0,35 mm pour L5-S1, 0,36 mm pour L4-L5 et 0,57 mm pour L3-L4.

Conclusions

Cette étude a montré que l’UM était fiable pour mesurer la distance interépineuse.

  • Ralph Kruse, DC, DIANM(US), FICC
  • Maruti Ram Gudavalli, PhD
  • Bret White, DC, MHSc, DABCO
  • Geracimo Bracho, PhD
  • Stacey Rider, DHSC, RDMS

A commentary on the use of mixed methods in chiropractic research. Part 1: overview of mixed methods research

Abstract

We recently each completed doctoral programs where the major focus of our work was in mixed methods research. In the first part of this three-part commentary, we present an overview of mixed methods research. In the second part, we present a summary of our primary and secondary research findings from our doctoral work involving mixed methods. In a third paper, we will discuss integrating qualitative research with randomized controlled trials and how this mixed methods study design can be applied to research within the chiropractic profession.

Our aim with these papers is to increase awareness amongst the chiropractic community of the value (and challenges) of using this unique methodology. We also make recommendations for improving the quality of reporting and conduct of future chiropractic mixed methods studies. Further dissemination of this work will occur through online webinars and conference presentations.


Étude sur l’utilisation de méthodes mixtes dans la recherche en chiropratique. Partie 1: aperçu des méthodes mixtes de recherche

Nous avons récemment terminé chacun un programme de doctorat dont l’objectif principal était les méthodes mixtes de recherche. Dans la première partie de cette étude en trois parties, nous présentons un aperçu sur les méthodes mixtes de recherche. Dans la deuxième partie, nous présentons un résumé des résultats de nos recherches primaires et secondaires dans le cadre de nos travaux de doctorat impliquant des méthodes mixtes. Dans un troisième article, nous discuterons de l’intégration de la recherche qualitative aux essais cliniques randomisés et de la manière dont ce modèle d’étude mixte peut être appliqué à la recherche au sein de la profession chiropratique.

L’objectif de ces articles est de sensibiliser la communauté chiropratique à la valeur (et aux difficultés) de l’utilisation de cette méthodologie unique. Nous formulons également des recommandations pour améliorer la qualité des rapports et la conduite des futures études sur les méthodes mixtes en chiropratique. La diffusion de ce travail se fera par des webinaires en ligne et des présentations lors de conférences.

  • Peter C. Emary, DC, PhD
  • Kent J. Stuber, DC, PhD

A commentary on the use of mixed methods in chiropractic research. Part 2: findings and recommendations for improving future chiropractic mixed methods studies

Abstract

In part 1 of this commentary, we presented an overview of mixed methods research and the rationales for using this methodology with examples from the chiropractic literature. We also introduced readers to the three core mixed methods study designs, as well as the advantages and challenges of employing a mixed methods approach. In part 2 of this series, we provide a summary of the primary and secondary findings from our doctoral work involving mixed methods research and make recommendations for improving the reporting and conduct of future chiropractic mixed methods studies.


Commentaire sur l’utilisation de méthodes mixtes dans la recherche en chiropratique. Partie 2: résultats et recommandations pour améliorer les futures études sur les méthodes mixtes en chiropratique

Dans la première partie de cette étude, nous avons présenté un aperçu de la recherche par méthodes mixtes et les raisons d’utiliser cette méthodologie à l’aide d’exemples provenant des ouvrages sur la chiropratique. Nous avons également présenté aux lecteurs les trois principaux modèles d’étude des méthodes mixtes, ainsi que les avantages et les difficultés liés à l’utilisation de ces méthodes. Dans la deuxième partie de cette série, nous présentons un résumé des résultats primaires et secondaires de notre travail de doctorat concernant les méthodes mixtes de recherche et nous formulons des recommandations pour améliorer les rapports et la conduite des futures études sur les méthodes mixtes en chiropratique.

  • Peter C. Emary, DC, PhD
  • Kent J. Stuber, DC, PhD

A commentary on the use of mixed methods in chiropractic research. Part 3: integration of qualitative research with randomized controlled trials

Abstract

This is the third of three papers in our series of articles on the use of mixed methods in chiropractic research. In this commentary, we discuss the mixed methods experimental (or intervention) design. This design is a complex mixed methods research design in which qualitative research is integrated with randomized controlled trials. We provide a brief overview of this study design as well as a case example from the literature to illustrate how this approach can be applied to research within the chiropractic profession.


Étude sur l’utilisation de méthodes mixtes dans la recherche en chiropratique. Partie 3: intégration de la recherche qualitative aux essais cliniques randomisés

Cet article est le troisième d’une série de trois articles sur l’utilisation de méthodes mixtes dans la recherche en chiropratique. Dans cet article, nous abordons le modèle expérimental (ou d’intervention) des méthodes mixtes. Il s’agit d’un modèle complexe de recherche par méthodes mixte dans lequel la recherche qualitative est intégrée à des essais cliniques randomisés. Nous présentons un aperçu de ce modèle d’étude ainsi qu’un exemple issu des ouvrages spécialisés afin d’illustrer la manière dont cette approche peut être appliquée à la recherche dans le domaine de la chiropratique.

  • Peter C. Emary, DC, PhD
  • Kent J. Stuber, DC, PhD

Combining motor imagery practice with physical practice optimizes the improvement in peak force control during thoracic spinal manipulation

Abstract

Spinal manipulation learning requires intensive practice, which can cause injuries in students. Motor imagery (MI) paired with physical practice (PP) appears to be a suitable means to reduce the number of physical repetitions without decreasing skill outcomes. This study examines whether a session of MI paired with PP leads to a similar improvement in the ability to precisely produce peak forces during a thoracic manipulation as PP alone. Chiropractic students participated in a thoracic manipulation training program for five weeks. They were randomised in two groups: the MI+PP group performed sessions combining physical and mental repetitions with 1/3 fewer PP sessions, while the PP group performed only PP. Thoracic manipulation performance was assessed in pre and post-tests, consisting of thoracic manipulations at three different strength targets. Absolute error (AE), corresponding to the difference between the force required and the force applied by the student, was recorded for each trial. The main result revealed that AE was significantly lower in post-test than in pre-test for both groups. Despite fewer physical repetitions, the MI+PP participants showed as much improvement as the PP participants. This result supports the use of MI combined with PP to optimise the benefits of physical repetitions on thoracic manipulation learning.


La combinaison de la pratique de l’imagerie mortice avec la pratique physique optimise l’amélioration du contrôle de la force maximale pendant la manipulation vertébrale thoracique

L’apprentissage de la manipulation vertébrale nécessite une pratique intensive qui peut entraîner des blessures chez les étudiants. L’imagerie motrice (IM) associée à la pratique physique (PP) semble être un moyen approprié pour réduire le nombre de répétitions physiques sans diminuer les acquis de compétences. Cette étude examine de quelle manière une séance d’IM combinée à la pratique physique entraîne une amélioration similaire pour doser avec précision leur force lors d’une manipulation thoracique par rapport à la pratique physique seule. Des étudiants en chiropratique ont participé à un programme de formation à la manipulation thoracique pendant cinq semaines. Ils ont été répartis au hasard en deux groupes : le groupe IM + PP a effectué des séances combinant des répétitions physiques et mentales avec 1/3 de séances PP en moins, tandis que le groupe PP n’a effectué que des séances PP. Les résultats des manipulations thoraciques ont été évalués lors de prétests et de post-tests, consistant en des manipulations thoraciques à trois niveaux de force différents. L’erreur absolue (EA), correspondant à la différence entre la force requise et la force appliquée par l’étudiant, a été enregistrée pour chaque essai. Le résultat principal a révélé que l’EA était significativement plus faible dans le post-test que dans le pré-test pour les deux groupes. Malgré un nombre inférieur de répétitions physiques, les participants IM+PP ont montré autant d’amélioration que les participants PP. Ce résultat soutient l’utilisation de l’IM combinée à la PP pour optimiser les avantages des répétitions physiques sur l’apprentissage de la manipulation thoracique.

  • Constance Dubant
  • Aurore Meugnot